Qui se cache donc derrière cette signature ?

Deuxième édition de la rubrique Mad in USA, qui vous présente la NBA de l’intérieur… et en images s’il vous plait ! Au programme : le retour de Ronny Turiaf aux affaires, l’arrivée de Melo au Garden et une session au training center des Knicks. Take a look !

Melo était déjà un Knick au début du mois de Mars, mais étrangement, c’est Kobe qui trônait sur les écrans publicitaires à l’approche du Garden, en compagnie de Kanye West pour un clash des égos publicitaire :

Rapidement quand même, les choses sont rentrées dans l’ordre et Carmelo trône désormais depuis plusieurs semaines, au bonheur des fans, des touristes, et de son équipementier, Jordan, of course :

C’est surtout sur le terrain et en uniforme qu’on a envie de le voir, et même si on s’habitue à sa nouvelle adresse, l’image n’en reste pas moins forte :

Si l’arrivée d’Anthony a donc ravi les fans, un autre qu’on est content de (re)voir après son problème au genou, c’est Ronny Turiaf, ici en pleine discussion avec Raja Bell.

Toujours plein d’énergie et de bonne humeur, il est noté pour son style unique : pantalon coupé et chaussures basses personnalisées pour l’échauffement :

Ce qui lui attire d’ailleurs quelques remarques des supporters au bord du terrain, avec qui il n’hésite pas à rigoler :

Le match sera par contre gagné pratiquement dès le coup d’envoi, avec une victoire des Knicks 131 – 109 au final.

Comme on avait donc envie d’un peu plus d’action, direction le Training Center des Knicks le lendemain, à Tarrytown. Seuls les médias sont autorisés, et il faut attendre le feu vert des Relations Presse pour voir la fin de la session. On prend donc son mal en patience.

Le temps d’admirer la photo des Knicks champions NBA en 1973, après le premier titre de 1970. Notez Phil Jackson, en haut à gauche :

On peut finalement rentrer, première image : Ronny, Toney Douglas et le reste de l’équipe, sous le regard de D’Antoni (en noir) et les bannières des maillots retirés.

Dernier système à mettre au point, le coach interdit toute erreur et veut une exécution parfaite avant de clore la session collective.

Ça n’empèche pas les joueurs de faire du travail supplémentaire ensuite, comme Shawne Williams et Bill Walker, qui se lancent dans un one-on-one bien chaud, sous le regard amusé de l’entraineur des bigs qui attise la compétition. On notera plus tard que les deux sont capables d’enchainer six ou sept trois points sans toucher l’arceau, aussi.

Landry Fields est toujours tout sourire, à l’aise dans son rôle de plus grosse surprise de la saison.

D’Antoni et Donnie Walsh parlent-ils de ce beau coup qu’ils ont réalisé le soir de la draft, de l’arrivée des nouveaux ou simplement d’autres sujets ? Nous n’irons pas les déranger pour savoir, bien que ça nous démange un peu.

Amar’e Stoudemire, lui, privilégie le travail des lancers-francs ce jour-là :

L’entraineur a apparemment des choses à lui dire, attention à ne pas le fâcher quand même !

Ensuite, les micros se pressent autour de la star, d’autant plus que Melo a décidé de partir dès la fin du training.

Il est temps d’y aller, dernier regard sur ces conditions idéales d’entrainement :

Quelques goodies trainent dans la vitrine à la sortie, seulement pour le plaisir des yeux, un peu comme ce photo-reportage qui touche à sa fin.

 

Au prochain épisode de Mad in USA : la venue des Boston Celtics, puis des Chicago Bulls dans le New Jersey – le jour de la Saint Patrick – et l’affrontement Knicks vs Magic jusqu’aux prolongations, dans une ambiance de folie au Garden,  be back soon !